Aujourd’hui je vous propose une pause cinématographique avec Steak (R)évolution, un film de Franck Ribière. En salle le 5 novembre, j’ai eu la chance de pouvoir le voir en avant-première. Comme son nom l’indique, on y parle viande, et plus particulièrement du bœuf. Ce documentaire est orchestré par Yves-Marie Le Bourdonnec, boucher parisien renommé et défenseur de la qualité. Voici ce que j’en ai pensé !
Synopsis :
Steak (R)évolution parcourt le monde à la découverte d’éleveurs, de bouchers et de chefs passionnés. Loin des élevages intensifs et des rendements industriels, une révolution est déjà en marche ; la bonne viande rouge devient un produit d’exception, voire de luxe.
Mais où se trouve le meilleur steak du monde ?
Franck Ribière et son boucher favori, Yves-Marie Le Bourdonnec, partent rencontrer les nouveaux protagonistes de la filière, généreux, attachants et écologistes, pour essayer de comprendre ce qu’est une bonne viande. Les nouveaux enjeux du marché ne sont pas toujours là où on les attend.
Steak (R)évolution est un film gourmand et politiquement incorrect sur la viande « haute couture ».
Plutôt que du texte, voici la bande-annonce :
Ce documentaire est l’occasion de voyager dans le monde (Royaume-Uni, Argentine, Japon, Brésil etc), de rencontrer différents acteurs du marché de la viande (éleveurs, chefs, bouchers) et voir différents modes de consommation. Ce périple permet de distinguer les différents morceaux de l’animal, et d’apprendre que selon les pays, la consommation varie. A la différence de la plupart des docus traitant de l’alimentaire, à aucun moment on dénigre les industriels. Ici on y parle plutôt qualité, bonne chair, positif. Les intervenants sont tous des gens passionnés par leur métier. D’ailleurs, c’est l’occasion d’y glaner quelques conseils cuisson / dégustation. Les images sont jolies et… donnent faim (même si on a mangé de délicieux et riches croques-monsieurs avant 😉 ). On y présente de beaux morceaux, et parfaitement cuits, hummmm !
Ce film sera passionnant pour quiconque aime la viande. A noter que les 2h passent sans problème. Je n’ai pas du tout vu le temps passer !
Le mot de la faim 🙂 : A voir !
Ce film vous tente ?